Vouloir être propriétaire de son logement fait partie du voeu de la plupart de nos compatriotes. Ceux qui vendent ont toujours tendance à surévaluer leur bien dont le prix est parfois à la limite de celui du “Château de Versailles” tandis que le candidat à l’acquisition d’aujourd’hui aurait plutôt tendance à lui trouver tous les défauts pour en minorer le prix.
L’étude jointe, réservée à nos adhérents, fait le point sur ce nouvel état d’esprit. Article extrait du « Monde » du dimanche 5 et lundi 6 avril 2015
Publié par Asib le 10 avril 2015
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